Souriante, fort caractère, têtue, indépendante, rationnelle, naturelle.

1 Janvier 1978, 0h03, Sydney, Australie.

Ce fût sous les célèbres et magnifiques feux d’artifice de Sydney, que la petite Myra poussa ses premiers cris. La naissance n’avait pas été sans complication : le bébé n’étant pas franchement pressé de voir le jour. Et lorsqu’elle teint la petite chose dans ses mains, Mary Jones eu une réaction impensable : elle se mit à pleurer et si Christopher, le papa, n’était pas à ses côtés à cet instant, Myra aurait fait connaissance avec le sol, froid et dur. Pensant que ce n’était qu’une mauvaise passe – le dénommé Baby blues- Chris ne se posa pas plus de question que cela.

Sauf que voilà. Ce n’était pas seulement une mauvaise passe. Après le séjour à l’hôpital, Christopher pensa que sa femme allait se calmer avec la routine … mais non, rien. Elle n’accepta pas de devoir s’occuper d’un troisième enfant, qui avait 10 ans de différence avec son deuxième fils. Ce fût pour cette raison que l’homme de la famille quitta son boulot, contre l’avis de sa femme, afin d’être toujours présent pour sa fille. La famille Jones, jusque là connue pour être très proche et très soudé, vît sa réputation mise à mal lorsque Christopher annonça le divorce.

Myra n’avait que 2 ans lorsque le père obtint sa garde et emménage avec elle dans un autre quartier, près de Bondi Beach.

A partir de là, je vous laisse carte blanche. Je vous demanderais seulement d’y faire figurer quelques points :

Le père étant surfeur, il décide d’apprendre à sa fille à tenir debout sur une planche quand elle atteint ses 6 ans. Elle se passionne très rapidement et dès lors sa vie tourne autour de ce sport. Bien que ce soit un milieu où la gente masculine est en surnombre, elle est vite accepté par les garçons de son âge et, se sentant plus à l’aise avec eux qu’avec les filles –qu’elle considère souvent comme étant pour la plupart immatures et superficielles- elle a plus d’amis masculin.

A l’adolescence, vous pouvez lui faire faire quelques faux pas (consommation de drogues et d’alcool) sans pour autant entrer dans l’excès. Une adolescente, en sommes, qui teste ses limites.

Après la high school elle commence des études en journalisme, qu’elle réussi haut la main.

A 24 ans elle fait la connaissance d’Alexander Darwin Carter, avec qui elle se met en couple. Elle lui apprend à surfer, l’emmène visiter l’out back Australien et lui montre des choses qu’il faut voir en Australie.

Deux ans après, Alexander décide de repartir à San Francisco et lui propose de venir avec. Attaché à son pays natal, elle refuse. Ils se séparent en de très bon termes, décide de rester amis et vivent leur vie chacun de son côté, sans pour autant perdre contact.

Quelques mois après sa séparation avec Alexander, Myra trouve l’amour au près de Scott, un américain venu habiter à Sydney. Elle reste avec lui pendant 10 ans. C’est avec lui qu’elle visite pour la première fois New-York, Washington, Chicago et surtout San Francisco. Amoureuse de cette ville, Myra la quitte le cœur lourd, en se jurant d’y retourner un jour.

En Novembre 2011, lorsqu’elle découvre que Scott la trompe avec sa pire ennemie, Myra n’hésite pas bien longtemps. Elle le quitte lui et son Australie natal pour aller s’installer à San Francisco.

Très vite, elle trouve un boulot au San Francisco Chronicles en tant que rédactrice.

Après avoir revu Alexander et avoir apprit qu’il donnait des services en tant que kiné dans un centre pour sans abris, elle décide d’aller s’informer chez le directeur et propose d’écrire régulièrement des articles sur le centre afin d’en informer d’éventuelles entreprises dans le but que celles proposes des places pour accueillir des résidents et leur donner une formation pour faciliter leur réinsertion dans le monde du travail .

Tout d’abord, merci à toi, inconnu(e) d’avoir choisi ma Myra. Mes attentes pour ce personnage ? Un(e) joueur(euse) qui sache s’amuser, en priorité ! Tout le reste est assez secondaire pour moi. Je ne demande pas une orthographe impeccable (je suis le dernier à en avoir une, moi …) mais tout de même assez bon pour être lu et comprit. Le nombre de lignes/mots m’importe peu. Le minimum requit me va très bien, tant que tu fasses en sorte de faire avancer le schmilblick dans tes réponses.
Aussi, je n’ai écrit l’histoire qu' en "mots clefs" en y mettant les informations que j’aimerais qui y figure. Libre à toi de reformuler à ta manière ! En cas question, n’hésite surtout pas à m’envoyer un mp ou à poser tes questions (quelqu’elles soient) dans la partie invité