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William P. Connely, feat. Johnny Depp [LIBRE]

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Luke S. Connely
Luke S. Connely
• Artisan / Homme à tout faire •

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Date d'inscription : 13/12/2012
Age : 33

Profil du personnage
Âge Âge : 27 ans
Côté cœur Côté cœur : Craque pour quelqu'un
Conjoint(e) Conjoint(e) : Son boulot surement

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MessageSujet: William P. Connely, feat. Johnny Depp [LIBRE] William P. Connely, feat. Johnny Depp [LIBRE] EmptyDim 27 Jan - 12:49


William P. Connely


❝ Possibilités d'évolution du scénario ❞

Le personnage ayant déjà été joué, le nom, l'avatar et l'histoire ne sont malheureusement pas modifiables, mais le caractère peut évoluer au fur et à mesure du jeu.



❝ Le scénario ❞

  • Type de personnage :




  • Célébrité sur l'avatar : Johnny Depp

  • Nationalité : Américaine

  • Âge : 39 ans

  • Profession : chômeur à temps partiel, Pirate à temps pleins et rock star à ses heures perdues

  • Employeur : aucun

  • Logement : chambre n°210


    ❝ L'histoire du scénario ❞

    Vous savez, William Peter Connely ne connait, pour ainsi dire, rien de ses vraies origines. Apparemment, il serait né sous X d’une mère de 17 ans qui se sentait bien trop jeune et pas assez forte mentalement ni assez stable dans sa vie, pour élever un enfant. Alors, le laissant à l’adoption, il fut adopté par Jenny O’Leary et Dean Connely, une gentille famille de San Francisco.

    Anciennement adeptes du Flower Power, ses parents adoptifs s’étaient rencontrés au festival de Woodstock puis, s’étant émancipé de leurs parents, ils étaient parti s’installer à San Francisco. Passant leurs journées à glander, à ne rien faire et vivant au jour le jour, ils se rassemblèrent entre amis, fumaient des joins, prirent du LSD et durent regarder la mort en direct d'un de leurs amis. Soignant leur chagrin dans la boisson et le sexe, ils ne prirent pas toutes les précautions nécessaires, ne connaissant pas encore, à l'époque, le préservatif. Il suffira à Jenny d'avorter. Enfin. Cela allait bien pendant pas mal d'année. Aucun d'eux n'avait, finalement, envie de se trimballer avec un enfant et devoir le nourrir et le soigner. Malheureusement, en juin 1974 leur crainte devint réalité : Jenny tomba enceinte.

    Elle n’avorta pas, mais fût victime d’une fausse couche. Cet évènement la troubla réellement. Se sentant fautive de la mort du petit fœtus, elle vécu avec des remords. Des remords tellement grands qu’elle n’avait plus goût à rien. Même les drogues n’étaient plus aussi attractives comme elles l’étaient avant. Elle les mît de côté, comme la boisson et … le sexe. C’était comme si elle devenait asexué, n’ayant aucune envie de revivre ça. Mon père lui ne disait rien et supportait la situation tant bien que mal, mais, au fond, il avait envie de dire à ma mère à quel point elle était égoïste. Clean et adulte, il ressentait cette envie, ce besoin, de fonder une famille. Il voulait des enfants et ne comprenait pas pourquoi cette idée rebutait tant sa femme.

    Alors, il se mit à parler d’adoption. Evidement, Jenny fût on ne peut plus réfractaire à cette idée … au début. Quelques années et des millions de brochures plus tard, elle céda finalement et ce fût le 29 février 1980 qu’elle pût enfin le tenir dans ses bras. En le voyant comme ça, en train de dormir avec ‘l’air d’un ange’, elle se demandait comment elle avait pût ne pas vouloir d’enfant. Enfin, tout ça pour dire que ses parents, ils l’aimaient. Son père se mit à travailler, ma mère resta à la maison et s’occupait de lui. Ses parents s’entendirent à nouveau à merveille. Ils étaient heureux ensemble. A tel point que 5 années plus tard, en 1985, la famille s’agrandit d’avantage : le petit Luke arrivait dans la vie de notre naïf William.

    Il l’aimait ce petit gosse, sauf quand il pleurait. Là, William pouvait devenir violent. Il l’avait même frappé à plusieurs reprises, à tel point que Jenny ne pouvait plus les laisser seul, allant même jusqu’à en emmener un avec elle quand elle allait aux toilettes. Mais soit. Dès lors que Luke apprit à parler et pût s’exprimer, ils s’entendirent fort bien.

    A l’âge de 6 ans, William était entré en primaire et avait commencé la guitare. Nul besoin de préciser que la guitare avait bien plus d’importance à ses yeux, que les cours. Il était, pour ainsi dire, un vrai cancre à l’école. En plus de cela, il était sujet à des violences répétées qui prirent plus d’ampleur au fur et mesure des années collégiennes.

    Sans doute avait-ce un rapport avec le fait que sa mère n’avait pas pût résister et avait replongé dans la spirale infernale des drogues ? Se transformant en quelqu’un de faible, d’aigris et de nerveux, elle succomba finalement à une overdose. William avait alors 13 ans et la mort de sa mère accentua sa violence ressenti, qu’il se devait d’extérioriser sur ses camarades.

    Ce fût ainsi qu’au lycée, il en vint mains avec ses camarades. A 14 ans, il se fît, pour la première fois, bannir de l’école pour 3 jours. William était heureux : il pouvait jouer toute la journée de guitare et s’entrainer au chant. Son père lui fit la morale, mais vous vous doutez bien qu’un adolescent n’est pas du genre à écouter ses parents, et encore moins le père. Ainsi, cette discussion n’avait aucun effet sur notre jeune homme. De retour à l’école, les bastons reprirent. Son but était clair comme de l’eau de roche : se faire bannir de l’école pour pouvoir jouer de la guitare comme il le voulait.

    Sauf que, voilà. Lorsque, un an plus tard, il rentra à la maison avec une lettre et toutes ses affaires de cours, son père sut qu’il venait de se faire carrément virer de l’école. La dispute qui éclatait ensuite était la pire de toutes. De telle sorte que, à l’âge de 16 ans, il prit sa guitare, ses compositions, quelques affaires et de l’argent, et se barra de la maison. Oh son père avait, bien évidement tenté de l’appeler mais William ne voulut rien savoir.

    S’émancipant donc à l’âge de 16 ans, il partit pour Nashville, ville de la musique où étaient nées les plus grandes rock stars de tous les temps. Armé de sa guitare, il prit d’assaut les scènes … mais n’eut aucun succès. Ses quelques ‘concerts’ se finirent toujours par des flops. Il s’était même, un jour, prit une pomme en pleine figure. Et pourtant, il n’abandonna pas. Mais, c’est ce qu’il aurait dût faire.

    Il continua ses concerts, juste pour sa satisfaction personnelle. Et, bien que se montrant fort et résistant, les injures qu’on lui crachait à la figure le marquèrent profondément. Heureusement (ou plutôt malheureusement ?) il trouva quelque chose qui pût le sortir de son trépas : les drogues. Exit Marijuana ou autre drogues de ce genre, ce que William voulait c’était les trucs forts qui te mettent dans un état second à tel point que tu oublies tout. C’est ainsi que naquit son addiction à l’héroïne. Mais tout ne se passa pas comme il le voulait.

    Durant son achat chez les dealers, il devint rapidement violent, si bien que les dealers refusaient rapidement de lui vendre quelques substances, allant même jusqu’à le menacer de mort. La peur aux trousses, William s’en fût à nouveau pour San Francisco. N’informant ni son père, ni son frère de son retour aux sources, notre jeune homme se trouva un logement très bas de gamme qui était plus un squat qu’autre chose et se chercha d’autres dealers.

    Tout se passa très bien jusqu’à un beau jour. Il y a maintenant 4 ans, William était en manque. Il commençait à avoir des hallucinations. Il avait besoin de son héroïne, et vite. Alors, tremblant et en nage, il se dirigea vers le lieu des deals … mais n’y trouva pas le dealer habituel. Il avait, devant lui, James Logan West, qui n’eut aucun scrupule et lui refusa sa drogue. William, déjà pas mal affaibli, avait tenté de le persuader, mais rien a faire : cet homme était tellement borné. Alors, sans rien dire, il s’en retourna et se trouva d’autres dealers qui lui vendirent ce dont il avait besoin. Avec sa dose d’héroïne dans le sang, il se sentait mieux. A tel point qu’il passa par le commissariat, histoire de dénoncer Logan, cet enfoiré qui l’avait laissé dans un état minable.

    Mais ce fût à ce moment là, que notre William se rendit compte que … putain, il était vraiment accro à cette merde. Il avait même dénoncé un inconnu juste parce qu’il ne lui avait pas vendu ce qu’il voulait. Il décida de lui-même d’aller en cure de désintoxication. Il en ressortit quelques mois plus tard, se pensant clean. Trois semaines plus tard, il était à nouveau entre de se propulser de l’héroïne dans le sang.

    Ce fût ainsi que se déroulèrent les 4 prochaines années. Passant de cure en cure, aucune de réussit à l’aider et il replongea toujours dans la spirale des drogues. Ce fût, alors qu’il venait de rentrer de l’énième cure, qu’il était désespéré et avait l’impression d’être au bout de sa vie, qu’il apprit l’existence du centre de réinsertion Adam Hawkes. De son plein gré et plein de motivation pour réussir à retrouver à nouveau le bon chemin, William y postula et … fût accepté en tant que résidant.

    Etant donné qu’il venait de sortir de cure de désintoxication, il ne ressentait pas encore ce besoin de pourrir son corps de drogue et il espérait que le centre de réinsertion l’aiderait à ne plus en être dépendant.

    Arrivé le 16 décembre 2012, Will commença sa petite vie, mais il était loin de s’attendre à retomber sur tant des personnes qui avaient marqué sa vie : Ce bon vieux James West faisait aussi parti de cette grande famille des résidents et les retrouvailles se sont aussi bien passées qu’il l’aurait imaginé… Mais les retrouvailles avec son petit frère lui procurèrent beaucoup plus de plaisir et malgré son aversion pour le contact physique, il l’avait serré fort dans ses bras.



    ❝ Mes attentes ❞

    L'absence de Will a créé un grand vide dans la vie de Luke qui savait qu'il avait un grand frère quelque part mais qu'il ne pourrait jamais profiter de sa présence. Malgré leurs grandes différences, les deux frères sont très attachés l'un à l'autre, mais ne passent pas des heures ensemble non plus. Plutôt du genre à boire un café une semaine sur deux.
    Côté rp, j'attends une bonne orthographe et un assez bon niveau d'écriture. S'il y a des questions, n'hésitez pa sà me contacter en cliquant sur le petit "mp" Wink

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MessageSujet: Re: William P. Connely, feat. Johnny Depp [LIBRE] William P. Connely, feat. Johnny Depp [LIBRE] EmptyDim 27 Jan - 14:51

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❝ Scénario validé ❞


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