Profession : chômeur à temps partiel, Pirate à temps pleins et rock star à ses heures perdues
Employeur : lui-même
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❝ L'histoire de mon personnage ❞
Vous savez, Peter William Connely ne connait, pour ainsi dire, rien de ses vraies origines. Apparemment, il serait né sous X d’une mère de 17 ans qui se sentait bien trop jeune et pas assez forte mentalement ni assez stable dans sa vie, pour élever un enfant. Alors, le laissant à l’adoption, il fus adopté par Jenny O’Leary et Dean Connely, une gentille famille de San Francisco.
Anciennement adeptes du Flower Power, ses parents adoptif s’étaient rencontré au festival de Woodstock puis, s’étant émancipé de leur parents, ils étaient parti s’installer à San Francisco. Passant leurs journées à glander, à ne rien faire et vivant au jour le jour, ils se rassemblèrent entre amis, fumaient des joins, prirent du LSD et durent regarder la mort en direct d'un de leurs amis. Soignant leur chagrin dans la boisson et le sexe, ils ne prirent pas toutes les précautions nécessaires, ne connaissant pas encore, à l'époque, le préservatif. Il suffira à Jenny d'avorter. Enfin. Cela allait bien pendant pas mal d'année. Aucun d'eux n'avait, finalement, envie de se trimballer avec un enfant et devoir le nourrir et le soigner. Malheureusement, en juin 1974 leur crainte devint réalité : Jenny tomba enceinte.
Elle n’avorta pas, mais fût victime d’une fausse couche. Cet évènement la troubla réellement. Se sentait fautive de la mort du petit fœtus, elle vécu avec des remords. Des remords tellement grand qu’elle n’avait plus goût à rien. Même les drogues n’étaient plus aussi attractives comme elles l’étaient avant. Elle les mît de côté, comme la boisson et … le sexe. C’était comme si elle devenait asexué, n’ayant aucune envie de revivre ça. Mon père lui ne disait rien et supportait la situation tant bien que mal, mais, au fond, il avait envie de dire à ma mère a quel point elle était égoïste. Clean et adulte, il ressentait cette envie, ce besoin, de fonder une famille. Il voulait des enfants et ne comprenait pas pourquoi cette idée rebutait tant sa femme.
Alors, il se mit à parler d’adoption. Evidement, Jenny fût on ne peut plus réfractaire à cette idée … au début. Quelques années et des millions de brochures plus tard, elle céda finalement et ce fût le 29 février 1980 qu’elle pût enfin me tenir dans ses brais. En le voyant comme ça, entrain de dormir avec ‘l’air d’un ange’ elle se demandait comme elle avait pût ne pas vouloir d’enfant. Enfin, tout ça pour dire que ses parents, ils l’aimaient. Son père se mit à travailler, ma mère resta à la maison et s’occupait de moi. Ses parents s’entendirent à nouveau à merveille. Ils étaient heureux ensemble. A tel point que 5 années plus tard, en 1985, la famille s’agrandit d’avantage : le petit Luke arrivait dans la vie de notre naïf William.
Il l’aimait ce petit gosse, sauf quand il pleurait. Là, William pouvait devenir violent. Il l’avait même frappé à plusieurs reprise, à tel point que Jenny ne pouvait plus les laisser seul, allant même jusqu’à en emmené un avec elle quand elle allait aux toilettes. Mais soit. Dès lors que Luke apprit à parler et pût s’exprimer, ils s’entendirent fort bien.
A l’âge de 6 ans, William entra en primaire et commença la guitare. Nul besoin de préciser que la guitare avait bien plus d’importance à ses yeux, que les cours. Il était, pour ainsi dire, un vrai cancre à l’école. En plus de cela, il était sujet à des violences répéter qui prirent plus d’ampleur au fur et mesure des années collégiennes.
Sans doute avait-ce un rapport avec le fait que sa mère n’avait pas pût résister et avait replongé dans la spirale infernale des drogues ? Se transformant en quelqu’un de faible, d’aigris et de nerveux, elle succomba finalement à une over dose. William avait alors 10 ans et la mort de sa mère accentua sa violence ressenti, qu’il se devait d’extérioriser sur ses camarades.
Ce fût ainsi qu’au Au lycée, il en vint mains avec ses camarades. A 12 ans, il se fît, pour la première fois, bannir de l’école pour 3 jours. William était heureux : il pouvait jouer toute la journée de guitare et s’entrainer au chant. Son père lui fit la morale, mais vous vous doutez bien qu’un adolescent n’est pas du genre à écouter ses parents, et encore moins le père. Ainsi, cette discussion n’avait aucun effet sur notre jeune homme. De retour à l’école, les bastons reprirent. Son but était clair comme de l’eau de roche : se faire bannir de l’école pour pouvoir jouer de la guitare comme il le voulait.
Sauf que, voilà. Lorsque, un an plus tard, il rentra à la maison avec une lettre et toutes ses affaires de cours, les parents surent qu’il venait de faire carrément virer de l’école. La dispute qui éclatait ensuite était la pire de toute. De telle sorte que, à l’âge de 16 ans, il prit sa guitare, ses compositions, quelques affaires et de l’argent, et se barra de la maison. Oh son père et son frère avaient, bien évidement tenté de l’appeler mais William ne voulut rien savoir.
S’émancipant de son père à l’âge de 16 ans, il parti pour Nashville, ville de la musique où étaient nées les plus grandes rock stars de tous les temps. Armé de sa guitare, il prit d’assaut les scènes … mais n’eu aucun succès. Ses quelques ‘concert’ se finirent toujours par des flop. Il s’était même, un jour, prit une pomme en pleine figure. Et pourtant, il n’abandonna pas. Mais, c’est ce qu’il aurait dût faire.
Il continua ses concerts, juste pour sa satisfaction personnelle. Et, bien que se montrant fort et résistant, les injures qu’on lui crachait à la figure, le marquèrent profondément. Heureusement (ou plutôt malheureusement ?) il trouva quelque chose qui pût le sortir de son trépas : les drogues. Exit Marijuana ou autre drogue de ce genre, ce que William voulait c’était les trucs forts qui te mettent dans un état second à tel point que tu oublie tout. C’est ainsi que naquit son addiction à l’héroin. Mais tout ne se passa pas comme il le voulait.
Durant son achat chez les dealers, il devin rapidement violent, si bien que les dealers refusaient rapidement de lui vendre quelques substances, allant même jusqu’à le menacer de mort. La peur aux trousses, William s’en fût à nouveau pour San Francisco. N’informant ni son père ni son frère de son retour aux sources, notre jeune homme se trouva un logement très bas de gamme qui était plus un squatte qu’autre chose et se chercha d’autre dealer.
Tout se passa très bien jusqu’à un beau jour. Il y a maintenant 4 ans, William était en manque. Il commençait à avoir des hallucinations. Il avait besoin de son héroin, et vite. Alors, tremblant et en nage, il se dirigea vers le lieu des deals … mais n’y trouva pas le dealer habituel. Il avait, devant lui, James Logan West, qui n’eu aucun scrupule et lui refusa sa drogue. William, déjà pas mal affaiblit, avait tenté de le persuade, mais rien a faire : cet homme était tellement borné. Alors, sans rien dire, il s’en retourna et se trouva d’autre dealer qui lui vendirent ce dont il avait besoin. Avec sa dose d’héroin dans le sang, il se sentait mieux. A tel point qu’il passa par le commissariat, histoire de dénoncer Logan, cet enfoiré qui l’avait laissé dans un état minable.
Mais ce fût à ce moment là, que notre William se rendit compte que … putain, il était vraiment accro à cette merde. Il avait même dénoncé un inconnu juste parce qu’il ne lui avait pas vendu ce qu’il voulait. Il décida de lui-même d’aller en cure de désintoxication. Il en ressorti quelques mois plus tard, se pensant clean. Trois semaines plus tard, il était à nouveau entre de se propulser de l’héroin dans le sang.
Ce fût ainsi que se déroulèrent les 4 prochaines années. Passant de cure en cure, aucune de réussi à l’aider et il replongea toujours dans la spirale des drogues. Ce fût, alors qu’il venait de rentrer de l’énième cure, qu’il était désespéré et avait l’impression d’être au bout de sa vie, qu’il apprit l’existence du centre de réinsertion Adam Hawkes. De son plein gré et plein de motivation pour réussir à retrouver à nouveau le bon chemin, William y postula et … fût accepté en tant que résidant.
Etant donné qu’il venait de sortir de cure de désintoxication, il ne ressentait pas encore ce besoin de pourrir son corps de drogue et il espérait que le centre de réinsertion l’aiderait à ne plus en être dépendant.
Gabriel Moore
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Comme il y a déjà un Peter ça t'embêterait de changer de prénom pour ton personnage ? Avant que tu ne commences ta fiche et que t'aies tout à changer ^^
James L. West
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En prime, j'ai vu que Johnny Depp a quand même 49 ans. alors que ton perso n'en a 32. Même si Johnny Depp est très sexy, il faut que ça reste crédible :lol/ De ce fait, est ce que tu pourrais vieillir un peu William ? ^^