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La violence ne mène à rien sinon à l'hôpital.

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Alexander D. Carter
Alexander D. Carter
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MessageSujet: La violence ne mène à rien sinon à l'hôpital.  La violence ne mène à rien sinon à l'hôpital. EmptyVen 28 Déc - 13:17

Rien à dire, les hôpitaux, ce n’était pas ce qui enchantait le plus notre jeune homme. Non pas trop à cause des gens qui y venaient pour un oui ou pour un non, non plus à cause du stresse et des urgences auxquelles ont pouvait faire face, non. C’était bel et bien à cause des odeurs nauséabondes qui y régnaient. Alexander avait, lors de sa formation, du faire ses stages dans un hôpital. En un an et demi de stage, il n’avait jamais pût s’habituer à ces puanteurs, ces odeurs de corps, mélangé à ceux des excréments, au désinfectant et à la bouffe servie. Non franchement, ce n’était pas pour rien qu’il n’avait pas postulé pour un poste de kinésithérapeute dans un hôpital. Au cabinet, les gens pouilleux et crasseux étaient vraiment des exceptions.

Et maintenant ? Alors qu’il avait l’habitude de voir l’hôpital par les yeux d’un employé, il allait le voir par les yeux d’un patient. Pas plus tard que hier en fin d’après-midi, alors qu’Alexander avait invité Logan à aller boire un café, ils avaient rencontré Kurt, un ex-détenu et ennemi de Logan. Inutile de préciser que la rencontre avait tourné au vinaigre. Notre kiné et son patient avaient, bien évidement, réussi à faire fuir les malfaiteurs, mais pas sans peine. Aussi, Alexander fût obligé par Logan et les policiers qui avaient rappliqué, d’aller à l’hôpital. Tout d’abord réfractaire à l’idée d’aller déranger les infirmières et les médecins, notre kinésithérapeute avait finalement consentie d’y aller lorsque, le lendemain matin –donc ce matin- il s’était réveillé avec un horrible mal de tête. Partant de l’arrière de son crâne, se répandant sur ses temps et descendant vers ses cervicales, cette migraine ne laissait rien présager de bon. En plus ça, son poignet gauche lui faisait mal et avait presque doublé de volume. Bon, il n’était pas cassé, c’était sûr à 100%, étant donné que notre homme pouvait encore bouger la main dans chaque direction, mais ce n’était pas sans peine.

Enfin soit. Il se retrouvait donc maintenant là, assit dans la salle d’attente. Penché en avant, front posé sur la paume de sa main droite, il avait les yeux fermé. Le brouhaha environnant lui semblait assourdissant et n’aidait pas à diminuer sa migraine –au contraire, il avait presque l’impression que celle-ci augmentait graduellement- Alexander se demanda pourquoi il était venu ici. Il aurait bien mieux fait de s’enfermer dans sa chambre, fermer les volets et se reposer. Seul.
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MessageSujet: Re: La violence ne mène à rien sinon à l'hôpital.  La violence ne mène à rien sinon à l'hôpital. EmptyDim 30 Déc - 13:29


Alex & Cassandra
J'
étais à l'hôpital, ... au centre ... chez moi ... hôpital ...centre .... nuit blanche à l'hôpital, centre ... re hôpital. Et j'y reste ! J'étais une acharnée du boulot, une folle furieuse, une tarée qu'aucuns de mes collègues ne comprenaient. Arpentant les couloirs en marchant d'un pas rapide, je regardais des dossiers, parlaient avec les patients, souriais et essayais de garder courage en voyant des trucs que les autres pourrait facilement partir vomir. L'hôpital pouvait être un endroit de paix, de papillons et de patients pas très en sang, comme ça pouvait être un film d'horreur glauque ... mais vraiment ... bien dégueu quoi ... et j'en ai vu des évènements dégueu dans ma vie ! Enfin bon. J'étais avec des collègues, discutant de tout de rien, j'avais hâte de rentrer enfin me reposer chez moi. Là, j'avais eu une petite heure de repos où j'en avait profité pour me doucher entièrement de la tête au pied. Je me sentais encore plus d'attaque pour faire la suite des évènements. Là, un collègue passa un dossier à une infirmière pas motivée, je pris le dossier des mains

    « C'est bon j'm'en occupe »


Je ne savais pas de qui il s'agissait et je m'en foutais un peu, j'avais envie de bosser pour ne pas sentir le temps filer. Je lu les quelques lignes du dossier et fut surprise de voir qu'il s'agissait de mon kiné. Je me dépêchais encore plus et entrais dans le boxe, fermant ensuite les rideaux autour de nous

    « Bonjour Mr Carter .... je vais soigner tout ça pour que vous puissiez rentrer tranquillement chez vous ... »


J'étais sa patiente et nous discutions souvent de choses et d'autres, il m'avouait même qu'il détestait l'hôpital pour les odeurs et autres choses dégueu. Je comprenais et faisais tout pour sentir bon quand je le voyais. M'installant devant lui avec une chaise mobile, je le soignais avec soin ... normal !

    « Je vais vous donner quelques cachets pour les maux de tête et la douleur. Alors ? Une histoire de bagarre qui a mal tournée ? »


Je connaissais les faits, c'était écrits dans mon rapport. Je pris les médocs et lui tendis un verre. Une fois vidé, je regardais l'état du visage de mon kiné

    « Même amoché vous êtes toujours aussi mignon »


Je lui fis un clin d'oeil e tun sourire
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Alexander D. Carter
Alexander D. Carter
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MessageSujet: Re: La violence ne mène à rien sinon à l'hôpital.  La violence ne mène à rien sinon à l'hôpital. EmptyDim 30 Déc - 19:17

Une vingtaine de minutes après s’être installé dans la salle d’attente, Alexander avait voulut se barrer, lorsqu’une infirmière était arrivée. Visiblement stressé, elle avait fait preuve d’aucune empathie et l’avait obligé à la suivre. Alexander avait dût marcher vite et maudit cette femme à cause de qui sa migraine augmentait d’avantage. Elle l’avait conduit à une cabine et était reparti tout aussi rapidement après avoir sèchement dit qu’un médecin passera … bientôt.

Soupirant, Alexander ferme les yeux et s’installa sur la chaise. S’appuyant sur la table d’osculation, il se prit la tête entre les mains et se massa les temps. Il se sentait mal, avait envie de vomir. Son poignet lui faisait de plus en plus mal et son mal de crâne s’était propagé jusqu’au front, au dessus de son œil gauche. Jamais, de toute sa vie il n’avait eu une telle envie de se cloitrer chez lui.

« Bonjour Mr Carter .... je vais soigner tout ça pour que vous puissiez rentrer tranquillement chez vous ...»

Cette voix ne lui était pas inconnue. Ouvrant un œil, il se tourna vers la direction d’où lui était parvenue cette voix. Et Effectivement, il connaissait cette jeune femme. Cassandra. Une de ses patientes. Clignant des yeux, il se tourna lentement vers elle afin de lui faire face. La douceur et l’assurance avec laquelle elle lui faisait face aura toujours le don d’étonné notre homme. Tout en l’auscultant elle lui parla, lui demandant, par une question rhétorique, si c’était bien à cause d’une bagarre qui avait mal tournée qu’il était là. Esquissant un demi-sourire, Alexander s’apprêta à lui répondre lorsqu’elle lui dit, avec un clin d’œil, que même amoché il restait mignon.

« Merci » dit-il simplement, en souriant un peu plus franchement.

Il cacha assez bien son soulagement face au fait que finalement, son sex appeal n’avait pas pâti de cette entre vue avec les ennemis de Logan. Soit. Il prit ensuite les médicaments tendu par la jeune femme et les avala avec le contenu du verre d’eau. Fermant les yeux, grimaçant au goût âpre des médicaments, il redonna le verre d’eau au médecin puis se passa une main sur le visage.

« J’imagine que vous connaissez Logan West, non ? » demanda-t-il, faisant assez confiance à la jeune femme pour lui raconter la vérité « On était allé boire un coup au Starbucks, on a rencontré ses collègues de cellule et … j’crois bien avoir cassé le nez d’un des trois, avec l’arrière de mon crâne » Se disant, il se frotta l’endroit où s’était formé une bosse puis soupira doucement et montra son poignet à la jeune femme « Et on m’a tenu tellement fort que mon poignet ne passe pas … »

Il se tu subitement. Crispant le visage, il ferma les yeux et grimaça, portant sa main à la tête. Appuyant la paume de sa main sur son front, il soupira légèrement. Soupire qui se transforma en gémissement de douleur. Foutu mal de crâne qui ne voulait pas partir.

« J’espère que t’es médicaments … feront rapidement effets, parce que là … »

C’était vraiment à la limite du supportable. Et dans sa douleur il avait complètement laissé la politesse de côté. Mais ça, ce n’était qu’un futile détail.

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MessageSujet: Re: La violence ne mène à rien sinon à l'hôpital.  La violence ne mène à rien sinon à l'hôpital. EmptyMer 9 Jan - 12:12


Alex & Cassandra
A
lex était sacrément amoché, j'avais deviné une bagarre au vue de ses blessures. Avant de m'occuper de quoi que se soit, j'enlevais le sang, m'occupais des plaies et lui donna un cachet pour ses douleurs. Je le regardais, m'occupant de lui sagement, comme lui s'occupait de moi. Bientôt notre rendez vous aussi, si je ne m'abuse. Faut dire qu'entre mes allés et venue de l'hôpital et du centre et aussi chez moi, je me faisais souvent mal et j'avais des douleurs au bas du dos comme un peu partout. Je commençais à être en kit en réalité. Mais je m'en fichais. Après une séance chez Alex, je filais aider les autres comme je le pouvais. Je faisais mon taffe d'infirmière mais aussi mon boulot de femme altruiste qui aide les autres avant de s'aider soi-même. Etant en face de lui, je repris le verre d'eau vide et notait des trucs dans son dossier. J'étais assise sur un tabouret roulant, j'adorais ça ... je me vois même en train de déconne avec mes colègue assise comme une conne sur un tabouret roulant ... oui nous les infi' on aime faire les cons ... ça nous occupe ! Anyway ... je m'égare ! Je le regarde, il m'avait demandé si je connaissais Logan. J'hoche la tête

    « Il m'arrive de l'avoir au bureau en consultation quand je vais au centre »


Je me tus et l'écoute. Il s'était battu comme un fou pour avoir le moins de dégâts, disons qu'il avait eu certainement de la chance d'être arrivé ici ainsi. Là, il me parle de son bras, après qu'il s'est tenu le front, je lui prend délicatement le poignet et le touche de mes doigts expertes. Je tâtais doucement le poignet, attentive à toute sorte de réaction

    « T'as de la chance, c'est pas cassé. T'auras juste un beau bleu, j'vais attendre mon collègue médecin pour qu'il te fasse une ordonnance. Médoc pour maux de tête, arnica pour ton bras, je vais en appliquer maintenant d'ailleurs, tu vas pouvoir me dire si jte masse bien »


Clin d'oeil suivit d'un sourire. Je me lave d'abord les mains, les essuis, prend le gel d'arnica, reviens devant lui et l'applique sur son poignet. Je commence ainsi à faire quelque geste pour tenter d'atténuer le bleu qui allait certainement venir sur son poignet. Je m'appliquais, il pourra certainement me donner des conseils pour l'avenir !
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MessageSujet: Re: La violence ne mène à rien sinon à l'hôpital.  La violence ne mène à rien sinon à l'hôpital. EmptyVen 11 Jan - 16:54


La tête entre les mains, grognant des choses incompréhensibles, Alexander maudissait son corps. Ou plutôt maudissait-il sont altercation avec ces enfoirés d’ex détenus. Sérieux, il n’avait rien mérité pour avoir une telle douleur. Il était juste allé au Starbucks et avait juste … embrassé Logan. Cette pensée eu l’effet d’une claque dur l’esprit de notre Alexander. Si bien qu’il ne réagi pas tout de suite aux doigts de Cassandra qui effleuraient et palpaient son poignet. Ce ne fût que lorsqu’elle lui parla d’ordonnance et de massage à l’arnica qu’il se tourna vers elle. Clignant des yeux, il l’observa se lever pour revenir avec un tube de crème. Après en avoir mit sur sa main, elle lui attrapa à nouveau le poignet et commença à le masser.

Se concentrant sur les gestes de la jeune de femme, il observa d’un regard expert comment les doigts entourèrent et glissèrent sur son poignet. Fronçant légèrement les sourcils, Alexander lança un coup d’œil à l’infirmière.

« Tu peux appuyer un peu plus fort » lui indiqua-t-il. Il n’avait pas put s’en empêcher. Il n’arrivait jamais à s’en empêcher. C’était plus fort que lui. Mais soit. « Descend un peu, plus à gauche, Là, oui … NON ! »

Avec un petit cri, autant de douleur que de surprise, Alexander lui arracha son poignet de ses mains. Grimaçant, il se frotta l’articulation, se mordant sur la lèvre. Après plusieurs instants, après que la douleur n’ait diminué, Alexander lança un regard à Cassandra avant de lui redonner son poignet.

« Tu viens de masser un nerf, ce qui donne une impression de coup de jus assez vif qui se propage dans tout le bras » expliqua-t-il rapidement avant de désigner son poignet « enfin, je suis assez sensible aussi, à cet endroit. Fait attention s’il te plait … »
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MessageSujet: Re: La violence ne mène à rien sinon à l'hôpital.  La violence ne mène à rien sinon à l'hôpital. EmptySam 26 Jan - 14:24


Alex & Cassandra
J'
essayais de masser le poignet d'Alex, je ne voulait pas faire de fausse manip. j'étais peut être une infirmière expérimentée, mais ce genre de choses, j'y allais réellement à tâtons et essayer de pas bloquer un nerf ou tout foutre en l'air. J'écoutais ses conseils en souriant, mais je ne disais rien. Cependant, je fis une mauvaise manip, non seulement je le sentis, mais Alex aussi, du coup j'enlevais de suite mes mains par réflexe et le regarda en rougissant de honte ...?. cependant comme tout fut très rapide, j'eus aussi un mouvement de recul défensif. Avec ma chaise roulante, je me suis reculée, par peur d'un coup. Mauvaises habitudes de mon ex encore ancrées en moi ... enfin bon .... Je le regardais, m'en vouant de l'avoir blessé. Il finit par poser son regard sur moi, m'expliquant les choses. Je déglutis

    « Désolée je voulais pas te faire mal ... »


Je repris doucement son poignet, d'abord avec méfiance puis avec assurance, m'étant avancée doucement vers lui. Je continuais à le masser doucement, l'écoutant et faisait très attention

    « Et sinon t'as fait quoi pour finir dans cet état ? »


Demande je sans quitter mon travail du regard. Je voulais éviter qu'on parle de l'incident d'il y a quelques seconde set aussi éviter de répondre à : "pourquoi tu t'es reculée". C'est pas que mais avouer que je fus une femme battue n'est pas du tout très aisée pour moi d'avouer. Je voulais enterrer mon passé, mon ex mari et tout le reste. Il n'y avait pas que ça, j'étais une infirmière militaire j'avais vu énormément de choses ... fait beaucoup de choses aussi et surtout beaucoup ressenti. Les victimes de la guerre ne sont pas que restées là bas ... j'en faisais aussi partie
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Alexander D. Carter
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MessageSujet: Re: La violence ne mène à rien sinon à l'hôpital.  La violence ne mène à rien sinon à l'hôpital. EmptySam 26 Jan - 14:44

Finalement, il n’y avait pas qu’Alexander qui avait senti fausse manip passé. Cassandra, elle aussi, avait réagit quelque peu excessivement. Tandis qu’il se massait lui-même son articulation, il avait, du coin de l’œil, vu comment la jeune femme s’était reculé avec sa chaise, le fixant comme si elle craignait qu’un coup ne parte. Enfin. Alexander ne réagit pas plus que ça. Lui expliquant calmement le pourquoi du comment il fallait s’y prendre, il la laissa à nouveau manipuler son poignet. Son regard était fixé sur les mains de la jeune femme, près à réagir au cas où l’infirmière viendrait à refaire un pas dans la fausse direction.

Lorsque Cassandra reprit la parole, Alexander leva furtivement son regard et fronça imperceptiblement les sourcils. Ne lui avait-elle pas déjà posé cette question juste avant ? Ou plutôt, ne lui avait-il pas déjà répondu ? Hm si, surement. Enfin soit. Haussant les épaules et rabaissant son regard sur sa main, il prit la parole.

« Je suis allé boire un coup avec Logan. » répondit-il calmement « On à fait une rencontre avec des gens très charmant … » son ton se fît on peu plus ironique « Un ancien détenu qui était en prison avec Logan. Ils s’adorent ces deux là. » Alexander soupira doucement, fermant furtivement les yeux lorsqu’un picotement de douleur se fît sentir au-dessus de sa paupière gauche. « Enfin. Je t’ai déjà raconté le reste : ce mec, après barré est revenu avec deux autres Types quand Logan et moi sommes sortis du Starbucks. Et … » il releva le regard vers Cassandra et désigna son poignet « voilà le résultat. Si je n’avais pas eu les mes reflex de karatéka, je crois bien que je ne serais pas entrain de te parler maintenant »

Il rigola doucement. Mais en même temps, ce n’était pas franchement marrant ce qu’il venait de dire. C’est vrai que si Alex et Logan avaient été deux hommes ‘normaux’ qui n’avaient aucune connaissances ni aucune maitrise des quelques techniques de combats, le carnage aurait été bien plus grand. Là, Alex s’en sortait avec une simple entorse du poignet et un mal de crâne qui disparaîtra d’ici demain, surement.
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MessageSujet: Re: La violence ne mène à rien sinon à l'hôpital.  La violence ne mène à rien sinon à l'hôpital. EmptyDim 27 Jan - 13:41


Alex & Cassandra
J'
étais vraiment cruche, je lui avais déjà posé la question. Je secouais la tête, hochant aussi, comprenant ce qu'il disait. Je regardais son poignet tout en continuant de le masser

    « Oui je me doute bien, désolée si je suis redondante dans mes questions .... j'me fais vieille ! »


Je riais doucement et quand je sentis que le poignet d'Alex se fit plus détendu, je le relâchais doucement. Je me relevais et passais mes mains à l'eau pour enlever la crème et tout le reste. Je crois que je me lave les mains au moins une bonne centaine de fois par heure. Je me retourne, prend une serviette et pose mon regard sur Alexander

    « Bon et bien ce que je peux faire pour toi ce sont des médoc pour le mal de crâne et du repos. Surtout ça. »


Je le regardais, là un médecin arriva, examina Alexander, on discuta sur les soins que j'avais prodigué, discutant sur les médocs qu'Alex devra prendre, mais ça, le médecin se tourna vers lui, mettant le tampon sur l'ordonnance et lui tendant la feuille. Il lui mit ensuite une atèle à son poignet que je lui tendis.. Le médecin s'en alla et je m'occupais donc d'Alexander. On sort de ce fameux boxe et un infirmier prit ma place. Je portais donc mon attention à Alexander. Comme quoi, on se soignait mutuellement, c'était un peu ironique ...

    « Je te rappellerais du coup dans quelques jours quand ça passera pour un nouveau rendez-vous »


Lui dis je en souriant tout en parlant du rendez vous que je voudrais bien avoir pour soigner mes soucis de dos et tout le reste. Oui parce qu'avec mes taffes et mes trajets intempestifs, je deviens une nana en kit !
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